Friday, August 26, 2005

Si j’avais su....

Mon premier mémoire du langage de Molière, était une session dans la sixième année à Winnipeg, quand j’ai prononcé le mot orange comme l’anglais prononciation, toute la classe riraient. Peut-être, c’était le commencement de ma peur de ne pas parler français. Après ça, comme toutes ou presque toutes les étudiants de Manitoba, je suivais la formation au maximum 3 heures chaque semaine jusqu’au neuvième année, quand j’avais l’occasion de choisir mes options, malheureusement, j’ai décidé de ne pas prendre le français, si j’avais su….

Je ne suis pas dit, c’était mon pire décision, parce qu’il y avait toujours mes appels téléphonique après le bar, ;-). Comme vous le savez, le Canada est une paye bilingue, et il est nécessaire que la plupart des fonctionnaires soient bilingue, particulièrement les gestionnaires. Heureusement, le gouvernement fédéral fournis la formation française pour les fonctionnaires qui ne parle pas l’autre langue officielle. Dans mon cas, s’il avait su ….

En tout cas, ma formation à plein temps a commencé le 6 juin 2001, avec l’objectif d’avoir le capacité d’expliquer mon travail, et d’avoir les conversations simple avec les francophones. Ça me prend, 11 mois plein-temps et environ 16 mois a temps partial de la formation d’attraper ce but. Chanceuse pour moi, pas pour les contribuables, j’ai gagné un autre concours, dans lequel il faut que je parle une niveau de française plus complexe, et plus vaste (niveau C) qu’avant. Laissons le jeu commence.

Cette formation commençait le 4 janvier 2005, et après 4 mois de la formation accélère, je devais être bilingue. Malheureusement, pas dans l’interview, mais avant l’interview, et juste après, je pense que oui, cependant, qu’est-ce que je sais, ;-). La formation a temps partielle commence trois semaines après l’interview, assez de temps d’oublier quelque chose, et 6 semaines plu tard, un autre interaction orale et un autre échec, ;-(. Maintenant, j’assiste pour l’approbation de mon directeur pour la formation face à face, jusqu'au moment quand je reçois mon niveau C, ou mon retraite, j’espère pour la première, mais il reste 27 ans avant ma retraite, ;-).

Pour moi, cet article est plus pour l’occasion de pratiquer mon français, et d’avoir un petit . Pour moi, un problème avec la formation et l’interview est la dépendance sur une conversation de 30-50 minutes. Cette interview dépend beaucoup trop sur le temps, le comportement de l’étudiant et l’évaluateur/évaluatrice, et pas sur le vrai capacité de communiquer dans l’autre langue officielle. Pour moi, il serait mieux d’avoir l’évaluateur/l’évaluatrice attends une classe prés de la fin de la formation ou regard une enregistrement d’une session, et fabrique une impression global sur ces capacités et dans l’interview il peut poser des questions d’une domaine spécifique, l’utilisation du subjonctif par exemple.

Au même temps, il n y a pas une bonne façon au travail après la formation de garder la capacité de parler français. Selon moi, si les étudiants travaillaient dans une division ou ils doivent parler leur deuxième langage presque tout le temps, ils garderaient la formation, et peut-être économiser l’argent pour le gouvernement, même si, ils pouvaient moins productif pour cet ans.

Comme, je l’ai dit au commencement, si j’avais su la difficulté que j’ai avec l’apprentissage du français, j’aurais continué ma formation à l’école secondaire, et à l’universitaire.

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